15 Octobre 2020
Nez : Belle association de la fumée, sur la cendre et de la céréale laiteuse. Vient ensuite l'aspect typiquement salé, citronné également. Voilà tout ce qu'il y a à savoir sur ce whisky en terme de senteurs. Ce qu'il faut ajouter, c'est que tout cela est vachement bien balancé, équilibré. La richesse en toute simplicité.
Bouche : Nous retrouvons cette même simplicité en bouche, entre cendre, sel, vanille, caramel. Mais le point qui me semble le plus important à évoquer, c'est l'absolue intégration de l'alcool, il est à peine imaginable que ce whisky tape un 60,7%. Le citron se fait doucement liquoreux, avec du zeste qui semble moyennement confit. Il y a encore du bois toasté, un peu d'épices. Il est presque trop facile à déguster, Caol Ila... Caol Ila, quel est ton secret ? Bravo à Jop pour avoir pêché celui-là !
Finale : La cendre est toujours bien installée. Il y a des notes plus médicinales, légèrement métalliques. Un peu de sécheresse et de boisé, mais encore de ces zestes de citron, voir de lime. Et oui, particulièrement douce, c'est pfff surprenant. À découvrir sans plus attendre !